Auditer chez EY : les avantages et processus essentiels à connaître

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Chez EY, la certification numérique des processus comptables s’impose désormais comme une norme, alors que la réglementation évolue plus vite que les effectifs. La maîtrise des outils d’analyse de données devient un prérequis, même pour les profils les plus traditionnels. La collaboration avec des spécialistes en cybersécurité fait désormais partie du quotidien, tout comme la veille sur l’intelligence artificielle appliquée à la détection des risques.

Les missions d’audit se réorganisent autour de ces nouvelles compétences, modifiant la structure des équipes et le rythme des interventions. Les parcours professionnels évoluent, notamment sous l’effet de la montée en puissance des profils hybrides combinant expertise comptable et maîtrise technologique.

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Pourquoi l’audit chez EY attire autant les talents aujourd’hui ?

Difficile d’imaginer un cabinet plus ouvert sur le monde que celui-ci : chez EY, l’audit a quitté ses tours d’ivoire depuis longtemps. Le recrutement est franc, la polyvalence est la norme, et la montée en compétences est immédiate. Partout en France, les équipes se diversifient et grandissent à une vitesse qui laisse peu de place aux certitudes figées.

L’auditeur EY découvre, à travers chaque mission, des entreprises diamétralement opposées : PME, ETI ou multinationales, les contextes se succèdent et aucun dossier ne ressemble au précédent. On entre dans la vie intime des organisations, on en dissèque les rouages, on capte leurs singularités et leurs points de fracture. Ce rythme intense aiguise l’esprit critique. Il forge une souplesse que recherchent tous les recruteurs, plus loin de l’image classique du contrôleur distant.

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La technicité pure n’est plus l’unique fil conducteur. L’apprentissage se poursuit sans relâche, chaque mission ajoute une corde à son arc, et le goût de la découverte s’entretient au fil des rotations. La formation, l’accompagnement et la mobilité interne sont devenus les fondations de la progression. Les échanges nourris avec les clients, la résolution de situations inédites, et l’utilisation massive d’outils digitaux transforment l’audit en véritable laboratoire d’innovations.

Le résultat : EY attire les profils qui veulent grandir et bouger. On ne bataille plus seulement pour les meilleurs diplômes mais pour des candidats capables de comprendre des réalités mouvantes, d’anticiper la complexité réglementaire, et de garder l’humain au centre. Voilà pourquoi les talents, chaque année, se bousculent à la porte du cabinet.

Les grandes mutations du métier : entre nouvelles attentes et technologies de pointe

Le métier d’auditeur chez EY n’a pas transigé. L’invasion du numérique et l’arrivée de la robotique ont inversé toutes les logiques traditionnelles. Place à l’automatisation des tâches répétitives, au traitement ultra-rapide des données financières, à l’analyse affinée. Finies les habitudes dupliquées : l’auditeur recentre son énergie sur le diagnostic, la valeur, le conseil.

La donnée ne se cantonne plus à un tableau de chiffres. Les méthodes s’affinent : analyse statistique, recherche d’anomalie algorithmique, visualisation pertinente de KPI. Les volumes traités grimpent. L’approche sur-mesure devient possible sur chaque mission, la maîtrise des outils numériques fait la différence, et l’expert s’autorise à anticiper les failles plutôt que de constater des erreurs.

Pour illustrer cette transformation, résumons les axes structurants du quotidien :

  • Automatisation des vérifications répétitives grâce à des scripts dédiés
  • Recours massif à l’analyse financière prédictive
  • Valorisation des tableaux de bord interactifs pour aider à la prise de décision

L’innovation s’impose à tous les étages. Les plateformes collaboratives, les échanges instantanés, les analyses produites en temps réel abolissent petit à petit les frontières entre audit financier, audit interne et conseil. Le digital permet au métier de constamment se renouveler et de s’aligner avec l’évolution des entreprises clientes.

Quelles compétences et qualités font la différence chez un auditeur EY ?

Se distinguer chez EY passe d’abord par une base technique solide, bien sûr : savoir lire un bilan, comprendre les principes comptables, naviguer dans les subtilités des flux financiers. Mais cela ne suffit plus. L’auditeur du XXIe siècle analyse la data, manipule avec assurance chaque outil digital, injecte de la réflexion dans chaque mission menée.

L’esprit d’enquête agit comme un accélérateur. Mettre en question la procédure, flairer ce qui cloche dans un schéma de gestion, identifier le sens d’un chiffre, cela s’apprend et s’affine au gré des dossiers. Autre atout, moins visible mais décisif : la communication. Savoir expliquer une conclusion, débattre avec un client, collaborer sur des dossiers transverses, rien n’est laissé au hasard.

Les équipes d’EY mettent particulièrement en avant trois qualités :

  • Adaptabilité : composer en temps réel avec les aléas ou les spécificités de chaque client
  • Ethique : défendre une analyse sincère, garantir la confidentialité de l’information
  • Ouverture : s’intégrer dans un collectif pluriel, riche de différences et d’expériences multiples

L’apprentissage continu habite le quotidien des collaborateurs. Entre les dispositifs maison, les séminaires spécialisés, les modules de formation en ligne et la richesse de la pratique sur le terrain, la progression se matérialise vite. L’arrivée de profils hybrides, venus d’univers variés, alimente une dynamique où l’inclusion cesse d’être un vœu pieux pour devenir une ressource concrète au service de la compréhension des entreprises.

audit financier

Des conseils d’experts pour s’orienter et évoluer dans l’audit moderne

L’avis est unanime chez ceux qui ont débuté chez EY : l’audit ouvre les portes, mais rien ne remplace une préparation sérieuse. Pour rejoindre un cabinet de cette envergure, il faut soigner sa connaissance de l’actualité financière, se familiariser avec le fonctionnement précis des entreprises, approfondir ce que les spécificités d’EY impliquent, et s’intéresser de près à la réalité du terrain comme à la culture d’équipe.

L’entretien s’apparente à un passage de cap. On attend plus qu’une maîtrise de la théorie : les recruteurs veulent mesurer une logique, sentir la capacité à reconstituer une chaîne financière, reconnaître un grain de curiosité et valider que les solutions proposées collent à la situation du client. Les diplômés venus de la comptabilité ou de la corporate finance y trouvent toute leur place, pour peu qu’ils dévoilent un esprit d’analyse aiguisé.

Une progression rapide s’appuie toujours sur des missions variées. Changer d’environnement, revendiquer un retour critique sur ses rapports, c’est la recette pour affûter sa lecture professionnelle. EY regorge de possibilités d’évolution, de passerelles internes, d’accompagnements parfois discrets. Échanger avec les seniors, saisir une formation sur la technologie ou les nouveaux enjeux, capitaliser sur l’accueil des profils diversifiés : la variété fait la richesse des carrières.

Quant à la suite, elle ne s’arrête pas à la fiche de paie. À mesure que le parcours mûrit, le spectre des missions s’élargit, certains bifurquent vers la finance d’entreprise ou le conseil, d’autres gravissent les échelons de l’audit pur. Ici, tout est affaire de trajectoire, d’ambition, mais aussi d’opportunités que l’on sait saisir.

L’audit chez EY, ce n’est plus simplement vérifier des comptes. C’est accepter d’influencer, d’inventer, de composer avec l’inconnu. Une aventure professionnelle pensée pour ceux qui, plutôt que d’exécuter, préfèrent accélérer l’avenir.