Pas besoin de tourner autour du pot : chercher un prestataire fiable pour s’occuper de son appartement, de son jardin ou donner un coup de main lors d’un déménagement relève souvent du casse-tête. Entre le bouche-à-oreille parfois incertain et les plateformes généralistes noyées sous les annonces, trouver la bonne personne au bon moment ressemble à une équation impossible. Yoojo, anciennement Youpijob, s’est engouffré dans cette brèche pour proposer une alternative simple et rapide à tous ceux qui souhaitent déléguer des tâches du quotidien… ou arrondir leurs fins de mois.
Yoojo, c’est un site web qui fait le lien entre particuliers et prestataires, pour des coups de pouce ponctuels ou des besoins récurrents : ménage, bricolage, jardinage, soutien scolaire, l’éventail est large. Ici, on publie sa demande en quelques minutes, on reçoit rapidement des propositions de jobbers du coin, et surtout, on peut consulter les avis laissés par la communauté pour se faire une idée avant de confier ses clés ou ses outils. Un vrai gain de temps pour les pressés et une source de missions pour ceux qui veulent proposer leur savoir-faire.
Qu’est-ce que Yoojo ?
Derrière le nom Yoojo, on retrouve l’ancienne plateforme Youpijob, créée en 2012 par Bertrand Tournier. Ce changement d’identité n’est pas qu’un simple rebranding : il s’agit d’accompagner une nouvelle dynamique, plus moderne, plus en phase avec les attentes actuelles des clients comme des prestataires. Yoojo officie principalement en France, mais étend aussi son service à d’autres pays pour accompagner un maximum de particuliers dans leur quotidien.
La plateforme couvre des besoins très variés. Ménage, bricolage, jardinage, cours particuliers, chaque utilisateur peut détailler sa demande, recevoir plusieurs offres, et s’appuyer sur les retours d’autres clients pour choisir le bon profil. L’idée ? Simplifier la mise en relation, sécuriser les échanges et garantir la qualité des interventions.
Comment fonctionne Yoojo au quotidien ?
Pour comprendre le fonctionnement de Yoojo, il suffit de suivre le chemin classique d’un particulier ou d’un jobber. Tout commence par une inscription sur le site. Ensuite, les clients publient leur demande, précisent leurs attentes, leurs contraintes, leurs créneaux. Les prestataires, eux, répondent en proposant leurs services et leurs tarifs. Les profils sont vérifiés, évalués, et chacun peut se faire une idée grâce aux notes et commentaires laissés par les précédents clients.
Voici les caractéristiques principales qui structurent la plateforme :
- Les jobbers inscrits chez Yoojo sont essentiellement des micro-entrepreneurs ou des particuliers auto-entrepreneurs.
- Chaque profil est vérifié et soumis à un système d’évaluation, ce qui instaure un climat de confiance.
- Yoojo prélève 20% de commission sur chaque prestation, avec un minimum fixé à 5 €.
- Le paiement peut se faire en quatre fois sans frais, ou via des tickets CESU. Les particuliers bénéficient d’un crédit d’impôt couvrant la moitié du coût pour les services à la personne.
- Un service client est joignable tous les jours de la semaine, pour répondre aux demandes ou désamorcer un problème.
Un catalogue de services pensé pour le quotidien
La promesse de Yoojo, c’est de répondre à tous les petits et grands besoins domestiques. Quelques exemples parmi les catégories disponibles :
- Ménage
- Bricolage
- Déménagement
- Aide à la personne
Chaque prestation est assortie d’une couverture d’assurance fournie par AXA, et les prix, eux, oscillent entre 12 € et 35 € de l’heure, selon la nature du service et sa complexité. Yoojo s’est aussi allié à Bricomarché, ce qui permet aux clients de profiter d’un accompagnement sur-mesure pour leurs projets de bricolage ou de jardinage, sans surprise sur les tarifs.
Mode d’emploi : comment ça marche pour les utilisateurs ?
Le principe est limpide. Après s’être inscrit, l’utilisateur poste une annonce détaillée sur Yoojo : type de service, date, description précise du besoin. Les prestataires disponibles dans la région reçoivent la demande et soumettent leur proposition chiffrée. À cette étape, le client peut comparer les profils, lire les avis, et choisir en toute connaissance de cause. Côté prestataires, chaque mission acceptée vient s’ajouter à leur planning, et le suivi des paiements se fait en toute sécurité, sans mauvaise surprise.
La commission de la plateforme reste fixe à 20 %, avec un plancher de 5 € par service. Le paiement s’effectue en ligne, en plusieurs fois si besoin, ou via les tickets CESU. Les clients profitent enfin d’un crédit d’impôt de 50 % pour les prestations entrant dans le champ des services à la personne. Ce modèle permet une vraie souplesse, aussi bien pour le budget que pour l’organisation des tâches.
Un point rassurant : Yoojo met à disposition une équipe support disponible tous les jours, pour accompagner les utilisateurs ou intervenir en cas de litige. Et grâce au partenariat avec AXA, chaque intervention est couverte, ce qui limite les mauvaises surprises. Résultat, Yoojo s’impose comme un site de référence pour trouver rapidement une aide fiable à domicile.
Panorama des services proposés par Yoojo
Yoojo ne se limite pas à une poignée de services : son offre s’étend à tout ce qui simplifie la vie à la maison. Parmi les catégories que l’on retrouve le plus souvent :
- Ménage : entretien régulier, nettoyage après déménagement, ménage de printemps ou interventions ponctuelles
- Bricolage : montage de meubles, petits dépannages, aide à la rénovation ou à l’installation
- Jardinage : tonte de pelouse, taille de haies, entretien saisonnier des espaces verts
- Déménagement : port de cartons, démontage et remontage du mobilier, chargement du camion
- Aide à la personne : garde d’enfants, accompagnement seniors, soutien scolaire
Des partenaires solides pour plus de garanties
Pour rassurer ses utilisateurs et peaufiner son offre, Yoojo s’appuie sur des acteurs de confiance : AXA pour l’assurance, Bricomarché pour le conseil et la réalisation de missions bricolage et jardinage. Les clients peuvent ainsi profiter d’une expertise reconnue et d’une sécurité renforcée, sans surcoût caché.
Des tarifs transparents et adaptables
Les prix pratiqués varient selon la mission, entre 12 € et 35 € de l’heure. Les modalités de paiement sont flexibles : règlement en quatre fois possible, tickets CESU acceptés, crédit d’impôt de 50 % à la clé pour les services à la personne. Cette politique tarifaire ouverte rend ces services accessibles à de nombreux foyers, qui peuvent ainsi s’offrir un coup de main sans grever leur budget.
Ce qu’en disent les utilisateurs
Ceux qui ont fait appel à Yoojo saluent surtout la simplicité du site et la rapidité pour trouver le bon prestataire. Les témoignages sont nombreux, et quelques exemples parlent d’eux-mêmes :
- Marie, habituée du site, apprécie la diversité : « Peu importe le besoin, j’ai toujours trouvé quelqu’un de compétent, aussi bien pour le ménage que pour le jardin. »
- Jean, utilisateur occasionnel, met l’accent sur la souplesse : « Pouvoir étaler le paiement sur plusieurs mois, c’est un vrai plus pour gérer son budget. »
Côté prestataires, les retours sont tout aussi positifs. Pierre, qui intervient dans le bricolage, explique : « Le site est intuitif, les missions tombent vite, et les paiements arrivent sans attendre. »
Des points à améliorer selon la communauté
Certains utilisateurs relèvent cependant des axes de progrès. Les annulations de dernière minute et la communication avec le service client suscitent parfois des frustrations. Un membre anonyme partage son expérience : « Une meilleure réactivité du support serait bienvenue, surtout en cas de souci sur une prestation. »
| Critère | Note moyenne |
|---|---|
| Qualité des prestations | 4.5/5 |
| Facilité d’utilisation | 4.7/5 |
| Service client | 4.0/5 |
Yoojo trace sa route sur le marché du service à domicile. Entre bouche-à-oreille numérique, prise en main rapide et catalogue étoffé, la plateforme s’impose comme un réflexe pour beaucoup. Pour ceux qui n’ont pas envie de perdre du temps à chercher la perle rare, c’est souvent la première, et la dernière, étape du parcours.


