Quel sera l’impact des mesures de la BCE pour les entreprises ?

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Alors que la bourse a connu deux chutes boursières au cours de la même semaine, les marchés financiers semblent retrouver une certaine forme de normalité. Faux repos, car, comme dans le domaine de la santé, la durée et les conséquences à moyen terme de la crise coronavirus ne sont pas encore connues. Les mesures prises par les autorités sont de nouveau affectées par leur vision, tandis que la machine économique interrompue met en péril le système financier qui ne peut se réguler lui-même. Une crise sans précédent est à craindre.

Symptômes d’une crise économique

Une semaine de tous les records. Après un dévissage de -8,39% lundi 9 mars, la plus forte baisse depuis la crise de 2008, la Bourse de Paris est revenue jeudi 12 mars et a enregistré la plus forte baisse de son histoire (-12,28%). Ce jeudi noir, cependant, est venu avant les mesures fortes prises par plusieurs États. Depuis lors, la hiérarchieL’évolution montre que les marchés financiers n’ont pas encore pleinement intégré les effets du Coronavirus.

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En fait, le premier choc vient davantage de la crise pétrolière, qui est la conséquence indirecte de l’arrêt d’une partie de l’économie mondiale, mais qui est plus géopolitique. Ce choc a frappé les banques et, malgré les discours sur la transition du secteur financier, révèle la grande sensibilité du secteur aux activités pétrolières, qui sont à forte intensité de capital. D’autre part, la deuxième vague correspondait aux annonces successives du FED puis de la BCE pour rassurer les conséquences économiques du coronavirus, qui se sont révélées insuffisantes. Depuis lors, les prix fluctuent entre espoirs et doutes, tandis que les prix du pétrole ont chuté, ce qui a conduit à des banques encore fortement engagées dans l’industrie du carbone.

Le Vix, également connu sous le nom d’ « indicateur de peur » parce qu’il mesure les variations brutes des prix, a son niveau le plus élevé depuisde la crise de 2008.

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Cette volatilité des marchés reflète l’incertitude totale du système économique. Ceci est illustré par l’évolution hiérarchique des indices boursiers d’un jour à l’autre, passant d’un déclin à une augmentation. Un autre exemple est que le VIX, également connu sous le nom d’ « indicateur de peur » parce qu’il mesure les changements majeurs des prix, a atteint son niveau le plus élevé depuis la crise de 2008 (3). Tous les indicateurs sont rouges, mais le pire viendra. Si la consommation est réduite au minimum, la réduction des échanges dans le cadre de la fermeture des frontières, une contagion de l’économie réelle sera inévitable. Pour mesurer sa taille, les grèves de décembre offrent un bon aperçu, quoique limité. Contrairement à ce que les commentateurs appellent à l’époque, la guerre terrestre est loin d’être bloquée. En outre, lors de laDécembre frappe une partie de la consommation est dirigée vers les ventes en ligne, qui, selon toute probabilité, sera également considérablement réduite. Compte tenu de l’impact sur le tourisme, qui représente 7,4 % du PIB (4) et sur le commerce international, qui représente encore 2,6 % du PIB (5), il est possible d’estimer l’impact sur le PIB. Chaque mois d’interruption entraînerait une baisse nette d’environ 32 milliards d’euros, ce qui représente une perte de 1,33 % du PIB par mois supérieure à celle annoncée par le gouvernement pour l’année (6). En réalité, les pertes sont susceptibles d’être plus importantes car elles se répartissent dans le temps, touchent de nombreux autres secteurs, et nous devons ajouter l’écart avec la croissance prévue de 2020, qui devrait être de 1,1% en décembre 2019 (7).

En outre, la DDC et l’emploi intérimaire, la fin de 2019 3 millions d’emplois (8) sont potentiellement deles incertitudes économiques et risquaient d’accroître sensiblement le chômage. Bien sûr, tous ces emplois ne sont pas directement concernés, mais il s’agit là d’une approche potentielle pour intégrer le CDI qui a été rompu à la suite de faillites. En outre, toutes ces personnes courent malheureusement le risque d’être exposées aux conséquences de la réforme de l’assurance-chômage, qui est prévue pour septembre

. Économie dans les maladies chroniques

Cette paralysie de l’économie fera exploser les risques existants en mettant en évidence les faiblesses chroniques. La contagion sera principalement due à la dette des acteurs privés, qui a atteint un niveau record ces dernières années (10), avec une croissance particulièrement forte en France. C’est la faiblesse intrinsèque de notre modèle économique, qui est encore principalement due au crédit pour la production et la consommation de carburant. Ce modèle d’exploitation n’est paspréparé pour un arrêt soudain. Il faut un flux régulier d’argent dans l’économie pour respecter les échéances de crédit, ce qui demeure à l’heure actuelle la principale préoccupation du gouvernement.

Le marché libre sans intervention de l’État n’est pas du tout préparé à un mouvement soudain et inattendu. Les investissements sur les marchés et les prêts sont basés sur des attentes : il s’agit d’engager des fonds sur la base d’une prévision des revenus futurs et de veiller à ce qu’ils soient correctement mis en œuvre. Ces dernières années, les cours des actions ont augmenté en raison des anticipations favorables de l’évolution des prix, qui maintiennent la tendance à la hausse de l’offre et de la demande. Le même phénomène se produit sur le marché immobilier, où les agents acceptent un prix élevé en vue de la revente à un niveau plus élevé. Bien sûr, en cas de renversement de tendance, ce commerce de promesses, Pierre-NoëlL’utilisation de l’expression Giraud s’arrête brusquement, et le cycle haussier s’inverse.

Le marché libre sans intervention de l’État n’est pas du tout préparé à un mouvement soudain et inattendu.

Ces difficultés, inhérentes au système capitaliste libéral, sont exacerbées par les difficultés accumulées ces dernières années. En effet, en réponse à la crise de 2008, puis à la crise de la dette souveraine, les banques centrales ont poursuivi une politique active de promotion de la dette en approchant les taux d’intérêt zéro et en injectant des liquidités dans les bilans des banques pour promouvoir les prêts, soit 2700 milliards d’euros accumulés pour la BCE en 2020 (11). Cette politique a conduit les entreprises et les particuliers à sortir des dettes attirées par les faibles taux d’intérêt. En France, le niveau de dette des agents privés a atteint 135,4% du PIB fin 2019, bien au-dessus desdette publique et atteint l’un des niveaux les plus élevés d’Europe. Ce mur de créances, qui a surgi à un moment où les perspectives de remboursement étaient favorables, pouvait immédiatement briser, car les emprunteurs ne pouvaient pas supporter leurs coûts.

Les politiques des banques centrales ont également contribué à l’inflation des prix sur les marchés financiers. D’une part, la politique de faible taux d’intérêt a contribué à rendre les actions attrayantes par rapport aux obligations, obligations privées dont les rendements étaient en baisse. D’autre part, la liquidité injectée, qui n’a pas trouvé de débouchés sous forme de prêts commerciaux, a favorisé un cycle spéculatif sur les marchés qui ne correspond pas aux perspectives de développement économique. Aujourd’hui, c’est cet élan qui représente le net déclin.

La crise de 2008 a également incité les décideurs à prendre des décisions visant à accroître le secteur bancaire.et éviter de nouvelles aides par le biais de fonds publics. Il est probable que ces mesures seront insuffisantes. En fait, les normes internationales exigent désormais des banques qu’elles maintiennent une réserve de fonds propres de 10,5 % de leurs risques estimés, contre 8 % avant la crise. Toutefois, le niveau des risques qui se manifestent par le défaut de remboursement risque d’exploser avec les difficultés rencontrées par les entreprises qui perturbent leurs activités et celles qui souffrent d’une perte de revenus. Toutefois, ces réserves, bien qu’elles soient plus élevées, seront disponibles à la fin d’une période où la rentabilité des banques, en particulier des banques européennes, s’est effondrée par rapport à 2008. Ces derniers ont vu leurs revenus baisser par la baisse des taux d’intérêt, ce qui a réduit leurs marges tout en subissant la concurrence des banques en ligne. Dans le même temps, leurs coûts fixes n’ont cessé d’augmenter, notamment à la suite d’investissements informatiques ou derespect des sanctions. Les données sont spectaculaires : le rendement des fonds propres du secteur bancaire s’est élevé à 15 % en 2005 et 2006, pas plus de 5 % en Europe entre 2011 et 2016 (12). Par exemple, les réserves levées par les banques ces dernières années peuvent suffire à faire face au choc immédiat, mais leur rentabilité déjà réduite leur laisse peu de marge de manœuvre pour faire face aux effets à moyen et à long terme.

De même, les États qui sont intervenus massivement en 2008 et ont souffert quelques années plus tard ne se sont pas rétabli. La dette publique, tant aux États-Unis qu’en Europe, n’a augmenté que ces dernières années. Pour le moment, les pays continuent de bénéficier de conditions obligataires favorables pour financer des mesures d’urgence. Mais ce climat est attendu en raison du double effet de l’augmentation des dépenses et, en particulier, de la déshydratation des recettes due au manque del’activité économique cesse brusquement.

Les innovations financières augmentent les risques

Enfin, le système financier reste victime de son énorme capacité d’innovation. Deux exemples pour illustrer cela : le développement de la négociation à haute fréquence ces dernières années et le développement d’un nouveau produit de financement bancaire, les quotas d’obligations convertibles (Co-Co).

Ainsi, ces dernières années, les commerçants ont été remplacés par des ordinateurs qui sont de plus en plus puissants et permettent des opérations plus rapides. Elle représente au moins 50 % des quantités échangées aux États-Unis (13). Cette activité est basée sur des algorithmes qui automatisent les décisions basées sur des statistiques antérieures et suivent des règles de décision de plus en plus complexes. S’il existe des règles spéciales en cas d’effondrement des prix, le trading à haute fréquence a sa part dans la panique actuelle, par son effet procyclique. En fait, toutes les théories sur laL’autorégulation du marché due à des mouvements en période de crise où la baisse des prix nécessite des baisses de prix. Les ordinateurs et l’intelligence artificielle n’ont pas encore démontré leur supériorité sur les décisions humaines. Ils accompagnent la tendance générale à la baisse, considérant qu’il est préférable de vendre le premier avant que les prix continuent à baisser.

Encore une fois, le système financier est piégé dans son propre piège.

De même, la crise de 2008 a été renforcée par des innovations financières et des opérations de titrisation pour lesquelles les investisseurs n’avaient pas pris la bonne mesure du risque sous-jacent. Encore une fois, le système financier est piégé dans son propre piège. Cocos, les obligations convertibles conditionnelles sont des titres d’obligations perpétuelles. À échéance régulière, l’émetteur peut décider de renouveler le passif (d’où leur statut permanent) oucapital (d’où son statut de conversion), à condition que certaines conditions financières soient remplies (d’où la notion de quota). Ces produits ont été estimés par les banques, qui pouvaient ainsi émettre des dettes équivalentes à celles des organismes de réglementation en raison de leur statut de conversion afin de satisfaire aux exigences légales. Les investisseurs se sont particulièrement réjouis de ce type de produit qui, en raison du risque de conversion en capital, est mieux rémunéré que la dette conventionnelle, qui est réduite par de meilleurs rendements sur un marché où les taux d’intérêt ont été réduits.

Cependant, depuis son introduction en 2009, aucune banque n’a dû convertir ces titres en capital, ce qui permet de perdre complètement l’investissement lorsque les conditions du marché se détériorent. Dans la situation actuelle et pour faire face aux difficultés futures, les banques peuvent intégrer des valeurs mobilières pour renforcer leurs propres ressources. Les investisseurs sont donc unperte de 160 milliards d’euros (14), certainement provisoirement sous-estimée. Le 11 mars, cependant, un premier cas emblématique est apparu lorsque la Deutsche Bank, déjà en difficulté avant la crise, a annoncé qu’elle ne rembourserait pas 1,25 milliard de dollars de dette, ce qui pourrait être le début d’une longue série (15).

Réponses qui représentent déjà leurs limites

La réaction des banques centrales et des États, qui ont tardé à évaluer la situation sanitaire et son impact économique, a été retardée avec des risques réels. Les mêmes outils qu’en 2008 ont été utilisés, bien que depuis lors, ils aient été largement utilisés et utilisés de manière non coordonnée. En effet, la priorité était d’injecter des liquidités sur le marché et de libérer des liquidités auprès des banques pour assurer la continuité du marché. Si cette arme est nécessaire à très court terme, il ne convient pas aux inserts. Contrairement à 2008, il ne s’agit pas d’une crise financière qui s’étend à l’économie réelle, mais vice versa. En l’absence d’activité réelle, les canaux financiers peuvent être vides.

Bien que l’Union européenne ait renversé bon nombre de ses dogmes en cas de force majeure, les instruments disponibles sont conçus dans un cadre libéral pour le fonctionnement normal du marché. Ils sont devenus obsolètes.

Le virus est donc susceptible de provoquer une crise non pas de liquidité, mais de solvabilité. C’est ainsi qu’il faut redéterminer quand les actifs d’une entreprise, y compris les perspectives de ventes futures, ne sont plus suffisants pour couvrir ses coûts. Il ne s’agira donc pas de rétablir la confiance entre les banques, mais de savoir quelles entreprises peuvent survivre à ce manque d’activité. La capacité de production sera trop limitée pour réduire le déficit de laéquilibrage de l’endiguement, en particulier dans les secteurs les plus vulnérables comme le tourisme. D’autre part, cette situation pourrait s’avérer fatale pour les entreprises ayant de faibles marges ou déjà des difficultés.

Cette politique devrait également être entravée par le retour de l’inflation. À la fin de la période de confinement, les économies réalisées par les ménages tomberont dans une machine productive désorganisée et les pressions inflationnistes risquent d’augmenter. À l’heure actuelle, les banques sont confrontées à un dilemme : soit maintenir les taux d’intérêt bas et accepter de laisser aller les hausses de prix, soit obéir au dogme de la stabilité monétaire en augmentant les taux d’intérêt et en prenant le risque d’exacerber les difficultés de l’économie en rémission.

Résumé des mesures prises par les banques centrales et les États aux États-Unis et en France Les décideurs semblent avoir cette situationpas entièrement mesuré. En prenant des mesures pour faciliter les prêts, ou en leur permettant de transférer des frais, ils tentent de gagner du temps pour les entreprises qui ont besoin d’argent. Au contraire, ces outils peuvent aggraver la situation lorsque la question devient de savoir quelle entreprise sera capable de survivre. Si la lance d’incendie est utile pour lutter contre le feu, elle devient contre-productive en cas d’inondation. Ce doute est plus susceptible de craquer le système financier, manque de certitude quant à la remboursabilité des entreprises. À leur tour, les banques seraient menacées, avec la question de savoir combien de pertes de crédit sont réparties pour chaque institution.

Bien que l’Union européenne ait renversé bon nombre de ses dogmes en cas de force majeure, les instruments disponibles sont conçus dans un cadre libéral pour le fonctionnement normal du marché. Ils sont devenus obsolètes.En fait, si les marchés sont considérés comme efficaces, il est nécessaire de simplement vous protéger contre les défaillances individuelles, mais il n’y a pas de risque systémique possible. Par conséquent, des instruments de sauvetage ont été mis au point pour les banques en cas de difficultés dans une seule institution, mais pas dans le cas de difficultés structurelles dans ce secteur. De même, le mécanisme européen de stabilité, qui a jusqu’à présent reçu 410 milliards d’euros (16) et le fonds paneuropéen d’aide n’aideront pas tous les pays qui sont progressivement fermés.

La fermeture temporaire des marchés ou de leurs compartiments les plus spéculatifs limiterait la panique et certains comportements opportunistes pendant un certain temps. Si l’économie ralentit, il est malsain que les finances ne soient pas mises en quarantaine.

Cependant, en acceptant que les marchés sont sortis du fonctionnement normal, nous pourrionsmesures à prendre. Ainsi, la fermeture temporaire des marchés ou de leurs compartiments les plus spéculatifs limiterait, comme cela est nécessaire pendant plusieurs jours, la panique temporelle et certains comportements opportunistes (17). Si l’économie ralentit, il est malsain que les finances ne soient pas mises en quarantaine. Dans ce type de période, la taxe sur les transactions financières, très critiquée, devrait être augmentée afin de rendre les mouvements de capitaux à court terme plus coûteux, y compris la restriction des opérations à haute fréquence. Enfin, il serait nécessaire d’abolir la politique de distribution des dividendes, alors que la durée des assemblées des actionnaires semble irrémédiablement compromise. Cela empêcherait les mesures de soutien public de bénéficier aux actionnaires qui souhaitent compenser leurs pertes sur les cours boursiers. En particulier, cette mesure donnerait aux entreprises environ 50 milliards d’euros pour renforcer leurs fonds propres (18)., qui double les mesures actuellement prises par le gouvernement. Ces mesures d’urgence nécessitent également des mesures plus structurelles à long terme par la nationalisation des industries stratégiques et l’introduction d’un véritable plan de relance économique écologique.

  1. https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/l-article-a-lire-pour-comprendre-la-guerre-petroliere-qui-fait-tousser-les-places-financieres-sur-fond-de-coronavirus_3858713.html
  2. https://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/les-banques-francaises-exposees-a-la-chute-du-petrole-1184295
  3. https://www.lepoint.fr/economie/retraite-epargne/bourse-la-folle-histoire-de-l-indice-de-la-peur-11-03-2020-2366753_2440.php
  4. https://www.economie.gouv.fr/cedef/statistiques-officielles-tourisme
  5. https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2c7eaae5-7a97-4cbf-9d85-7ae9b05b36fd/files/7cba2edc-fd9a-430c-a92f-12514424b6cb — Seite26
  6. https://www.capital.fr/entreprises-marches/recession-en-vue-pour-la-france-le-pib-devrait-chuter-de-1-alerte-bruno-le-maire-1364904
  7. https://www.capital.fr/economie-politique/la-prevision-de-croissance-de-la-france-revue-en-forte-baisse-pour-2020-1357862
  8. https://www.insee.fr/fr/statistiques/4314980 — Abbildung3
  9. https://www.lefigaro.fr/social/muriel-penicaud-annonce-le-report-de-la-reforme-de-l-assurance-chomage-20200316
  10. https://www.usinenouvelle.com/article/l-endettement-prive-bat-un-record-en-france.N879790
  11. https://www.franceculture.fr/emissions/la-bulle-economique/que-feriez-vous-avec-2400-milliards-deuros
  12. https://publications.banque-france.fr/baisse-de-la-rentabilite-depuis-2005-les-banques-francaises-tirent-leur-epingle-du-jeu?fbclid=IwAR3UQ6Qag0vY7fLJAi6nPPeTOVfjmMJ4U5m4HQR7ocUsQnwmICfJnKV_H_8
  13. https://www.centralcharts.com/fr/gm/1-apprendre/5-trading/16-automatique/312-l-impact-du-trading-haute-frequence
  14. https://www.bloomberg.com/quicktake/contingent-convertible-bonds
  15. https://www.reuters.com/article/us-deutsche-bank-bonds/deutsche-bank-opts-not-to-redeem-1-25-billion-of-debt-next-month-idUSKBN20Y29K
  16. https://www.lemonde.fr/international/article/2020/03/20/coronavirus-l-ue-prend-la-decision-inedite-de-suspendre-les-regles-de-discipline-budgetaire_6033897_3210.html
  17. https://www.franceculture.fr/economie/faut-il-aussi-confiner-la-bourse
  18. https://www.lemonde.fr/economie/article/2020/01/09/ruissellement-de-dividendes-sur-le-cac-40_6025280_3234.html

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  • https://www.capital.fr/entreprises-marches/recession-en-vue-pour-la-france-le-pib-devrait-chuter-de-1-alerte-bruno-le-maire-1364904
  • https://www.capital.fr/economie-politique/la-prevision-de-croissance-de-la-france-revue-en-forte-baisse-pour-2020-1357862
  • https://www.insee.fr/fr/statistiques/4314980—Figure

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